Un printemps avec CHOPIN
Un spectacle écrit par Manuel DIEUDONNÉ
avec Jean-Pascal MEYER piano Elodie FONDACCI
et Gérard CHARROIN, Images sur grand écran.
Jean Pascal MEYER
Elodie FONDACCI
L'épisode de Majorque, inauguré dans le soleil et l'euphorie, s'achève avec la pluie et la déception, il faut rentrer. Mais où abriter leur amour ? A Nohant, dans la grande maison que George Sand possède dans ce cœur du Berry secret, qui séduit d'emblée Chopin.
Dorénavant, il y viendra chaque été – des étés qui commencent à Pâques et s'achèvent à la Toussaint – et c'est là qu'il va composer l'essentiel et peut-être le meilleur de son œuvre : ces sept étés à Nohant vont en effet voir fleurir des valses, des mazurkas, des polonaises mais aussi d'abord une nouvelle ballade, un nouveau scherzo.
En 1840, Chopin a 30 ans. Il forme avec George Sand un couple d'artistes en vue, salué, reconnu, estimé du milieu artistique.
En 1846, c'est la déchirure, la fin du couple Chopin/Sand. Il tente de vivre, de résister à la maladie qui le ronge, d'échapper aux quintes de toux, au sang qui monte dans la gorge. Il se laisse absurdement entraîner par une écossaise dans un périple jusqu'à Glasgow d'où il revient exsangue. Encore quelques mazurkas, jusqu'à cette dernière qu'il achève presque sur son lit de mort, en 1849, à 39 ans.
Un printemps avec CHOPIN
Un spectacle écrit par Manuel DIEUDONNÉ
avec Jean-Pascal MEYER piano Elodie FONDACCI
et Gérard CHARROIN, Images sur grand écran.
Elodie FONDACCI
L'épisode de Majorque, inauguré dans le soleil et l'euphorie, s'achève avec la pluie et la déception, il faut rentrer. Mais où abriter leur amour ? A Nohant, dans la grande maison que George Sand possède dans ce cœur du Berry secret, qui séduit d'emblée Chopin.
Dorénavant, il y viendra chaque été – des étés qui commencent à Pâques et s'achèvent à la Toussaint – et c'est là qu'il va composer l'essentiel et peut-être le meilleur de son œuvre : ces sept étés à Nohant vont en effet voir fleurir des valses, des mazurkas, des polonaises mais aussi d'abord une nouvelle ballade, un nouveau scherzo.
En 1840, Chopin a 30 ans. Il forme avec George Sand un couple d'artistes en vue, salué, reconnu, estimé du milieu artistique.
En 1846, c'est la déchirure, la fin du couple Chopin/Sand. Il tente de vivre, de résister à la maladie qui le ronge, d'échapper aux quintes de toux, au sang qui monte dans la gorge. Il se laisse absurdement entraîner par une écossaise dans un périple jusqu'à Glasgow d'où il revient exsangue. Encore quelques mazurkas, jusqu'à cette dernière qu'il achève presque sur son lit de mort, en 1849, à 39 ans.
Un printemps avec CHOPIN
Un spectacle écrit par Manuel DIEUDONNÉ
avec Jean-Pascal MEYER piano Elodie FONDACCI
et Gérard CHARROIN, Images sur grand écran.
Elodie FONDACCI
L'épisode de Majorque, inauguré dans le soleil et l'euphorie, s'achève avec la pluie et la déception, il faut rentrer. Mais où abriter leur amour ? A Nohant, dans la grande maison que George Sand possède dans ce cœur du Berry secret, qui séduit d'emblée Chopin.
Dorénavant, il y viendra chaque été – des étés qui commencent à Pâques et s'achèvent à la Toussaint – et c'est là qu'il va composer l'essentiel et peut-être le meilleur de son œuvre : ces sept étés à Nohant vont en effet voir fleurir des valses, des mazurkas, des polonaises mais aussi d'abord une nouvelle ballade, un nouveau scherzo.
En 1840, Chopin a 30 ans. Il forme avec George Sand un couple d'artistes en vue, salué, reconnu, estimé du milieu artistique.
En 1846, c'est la déchirure, la fin du couple Chopin/Sand. Il tente de vivre, de résister à la maladie qui le ronge, d'échapper aux quintes de toux, au sang qui monte dans la gorge. Il se laisse absurdement entraîner par une écossaise dans un périple jusqu'à Glasgow d'où il revient exsangue. Encore quelques mazurkas, jusqu'à cette dernière qu'il achève presque sur son lit de mort, en 1849, à 39 ans.
Elodie FONDACCI
ECORCES
La peinture de Gérard CHARROIN
de Manuel DIEUDONNE
Manuel Dieudonné est professeur de philosophie. Il a notamment publié aux éditions Bréal des études universitaires sur Schelling et Heidegger. Ses goûts autant que ses recherches l'ont conduit à s'intéresser aux multiples facettes de la peinture contemporaine. Très loin des analyses éthérées, Ecorces, texte consacré au travail du peintre Gérard Charroin, est le fruit d'une rencontre heureuse. On ne trouvera pas dans cette belle monographie de conception esthétique toute faite ni de théorie édifiante. La philosophie n’est au service que du dialogue. C’est dans la maison de Gérard Charroin, à Chesley dans l’Aube, que s’élabore peu à peu une discussion sur l’oeuvre du peintre. L’ombre de Gaston Bachelard, né tout près d’ici, rôde sur l’ensemble. Voici donc, entre groseilles et vin de région, sous la belle lumière d’un début d’été, une rencontre heureuse.
ECORCES
La peinture de Gérard CHARROIN
de Manuel DIEUDONNE
Manuel Dieudonné est professeur de philosophie. Il a notamment publié aux éditions Bréal des études universitaires sur Schelling et Heidegger. Ses goûts autant que ses recherches l'ont conduit à s'intéresser aux multiples facettes de la peinture contemporaine. Très loin des analyses éthérées, Ecorces, texte consacré au travail du peintre Gérard Charroin, est le fruit d'une rencontre heureuse. On ne trouvera pas dans cette belle monographie de conception esthétique toute faite ni de théorie édifiante. La philosophie n’est au service que du dialogue. C’est dans la maison de Gérard Charroin, à Chesley dans l’Aube, que s’élabore peu à peu une discussion sur l’oeuvre du peintre. L’ombre de Gaston Bachelard, né tout près d’ici, rôde sur l’ensemble. Voici donc, entre groseilles et vin de région, sous la belle lumière d’un début d’été, une rencontre heureuse.
ECORCES
La peinture de Gérard CHARROIN
de Manuel DIEUDONNE
Manuel Dieudonné est professeur de philosophie. Il a notamment publié aux éditions Bréal des études universitaires sur Schelling et Heidegger. Ses goûts autant que ses recherches l'ont conduit à s'intéresser aux multiples facettes de la peinture contemporaine. Très loin des analyses éthérées, Ecorces, texte consacré au travail du peintre Gérard Charroin, est le fruit d'une rencontre heureuse. On ne trouvera pas dans cette belle monographie de conception esthétique toute faite ni de théorie édifiante. La philosophie n’est au service que du dialogue. C’est dans la maison de Gérard Charroin, à Chesley dans l’Aube, que s’élabore peu à peu une discussion sur l’oeuvre du peintre. L’ombre de Gaston Bachelard, né tout près d’ici, rôde sur l’ensemble. Voici donc, entre groseilles et vin de région, sous la belle lumière d’un début d’été, une rencontre heureuse.
ECORCES
La peinture de Gérard CHARROIN
de Manuel DIEUDONNE
Manuel Dieudonné est professeur de philosophie. Il a notamment publié aux éditions Bréal des études universitaires sur Schelling et Heidegger. Ses goûts autant que ses recherches l'ont conduit à s'intéresser aux multiples facettes de la peinture contemporaine. Très loin des analyses éthérées, Ecorces, texte consacré au travail du peintre Gérard Charroin, est le fruit d'une rencontre heureuse. On ne trouvera pas dans cette belle monographie de conception esthétique toute faite ni de théorie édifiante. La philosophie n’est au service que du dialogue. C’est dans la maison de Gérard Charroin, à Chesley dans l’Aube, que s’élabore peu à peu une discussion sur l’oeuvre du peintre. L’ombre de Gaston Bachelard, né tout près d’ici, rôde sur l’ensemble. Voici donc, entre groseilles et vin de région, sous la belle lumière d’un début d’été, une rencontre heureuse.
LES CARNETS DE GUERRE DE ROMAIN DARCHY
Romain DARCHY
Réunion de travail à Concerto :Jean Pierre Vernet, historien de la Grande Guerre
Véronique Onfrey, petite fille de Romain Darchy, Karine Lethiec, directrice artistique et alto, Didier Bertrand réalisateur des images, Pascale Labalette, directrice culturelle de Laigle
Il est incorporé dans l'armée française, le 19 décembre 1914. Agent de liaison au sein du 408e régiment d'infanterie, de 1915 à 1918, il se voit attribuer à Verdun la médaille militaire et la croix de guerre. Mais, au cours de l'ultime offensive allemande du 15 juillet 1918 en Champagne, il est fait prisonnier, transféré et détenu en Allemagne pendant plus de quatre mois. À son retour, en décembre 1918, épuisé et malade, il est soigné plusieurs mois dans les hôpitaux de Bourges et de Sancerre, se rétablit mais garde néanmoins des séquelles de son intoxication par les gaz de combat.